Bienvenue sur le site de l’ONG OJADEC-AFRIQUE : Organisation des Jeunes en Activité pour le Développement Communautaire en Afrique. ONG Humanitaire d’assistance sociale et financière à caractère International basé au Bénin, Togo et Ghana Téléphone : 00228 916 88 55 Togo 00229 95 04 84 42 Bénin 00233 27 425 20 77 Ghana E-mail : ojadec_afrique@yahoo.fr Ojadec_afrique@hotmail.com 1er Responsable de l’ONG : AYOMASSE Francis Ensemble luttons contre la pauvreté sur toutes ses dimensions
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Dominée par des montagnes arides, sillonnée de rivières, la région de Bassar offre de splendides panoramas sur une zone de savanes arborées.
La région est réputée pour être le centre de la culture des ignames. Chaque année la fête des ignames, "D'pontr/N'dack" (fête des moissons), marque en pays Bassar et Konkomba le début d'une nouvelle année.
La région recèle aussi de magnifiques hauts fourneaux qui attestent du travail ancestral du fer dans la région.
 
   
 
 
   
 
 
   
Le sol de Bassar, comme celui de Bandjéli recelait de minerais de fer qui ont été exploités très tôt par les populations locales.
La région est réputée pour sa technique de la fonte et pour ses forgerons.
Avant l'indépendance on recensait plus de 500 fourneaux dans la région.
   
 
   
 
 
   
Vous pourrez visiter à Bandjéli, une très belle chefferie traditionnelle konkonba.
Après l'audience avec le chef, visitez les cases de sa demeure qui sont très joliment décorées de peintures.
   
 
   
 
 
 
 
D'pontr/N'dack (fête des moissons en pays Bassar et Konkomba). Elle marque en pays Bassar et Konkomba le début d'une nouvelle année. La culture de l'igname dans la région demeure l'élément clé autour duquel on trouve la signification de D'pontr et N'dack. D'pontr et N'dack donnent l'occasion à l'homme bassar ou Konkonba l'occasion d'apprécier le fruit de son labeur de l'année et lui permettent d'en offrir les prémices aux dieux et aux mânes des ancêtres en signe de reconnaissance. Elle est célébrée chaque année le 1er samedi du mois de septembre alternativement à Bassar et Guérinkouka.
   
 
   
 
 
   
Marché de Bandjéli: tous les jeudis.
Marché de Bassar : tous les samedis. Le marché de Bassar est réputé pour ses ignames.
   
 

 
 
La région de Niamtougou, à une trentaine de kilomètres au Nord de Kara, regorge de paysages magnifiques et des petits villages en cases traditionnelles.
On y visitera le centre artisanal CODHANI (Coopérative des Handicapés de Niamtougou) spécialisé dans le textile batik.
Son marché se tient tous les dimanches et est un des plus vastes de la région.
   
 
 
   
 
 
 
 
Centre artisanal Codhani: La CODHANI est une organisation coopérative regroupant des personnes handicapées physiques.
Elle a été créée en 1977 avec l'appui du service de coopération allemande (DED) pour occuper les handicapés et améliorer leurs conditions de vie.
   
Le projet a démarré avec la production et la vente de savons. Aujourd'hui la coopérative compte 51 membres de différents genres d'handicaps.
La CODHANI s'est spécialisée dans le batik, la teinture et la couture.
Les ateliers sont ouverts au public
   
 
   
 
 
 
 
Sintou-Djandjaagou (fête des moissons des Nawdéba et Lamba de Doufelgou). C'est une fête célébrée chaque année le 1er samedi du mois d'avril par les populations de la préfecture de Doufelgou. Elle se veut le carrefour des cultures et des peuples de cette préfecture car elle constitue un condensé des rites, manifestations et danses les plus typiques que l'on rencontre chez les ethnies de la préfecture à savoir: les Nawdéba et les Lamba. Cette danse est également exécutée pour vénérer la mémoire des ancêtres et remercier ces derniers et le tout-puissant pour la bonne récolte afin qu'ils bénissent la saison qui commence. Elle a lieu à Niamtougou.
   
   
 
   
 
 
 
 
Le marché de Niamtougou est l'un des plus importants de la région et se tient tous les dimanches.
   
 

 
 
A une cinquantaine de kilomètres au Nord de Kara, on découvrira le paysage koutammakou, site classé au patrimoine mondial par l'UNESCO.
A kande, il faut emprunter la piste sur environ 15 km avant d'arriver à l'entrée du site.
 
 
   
 
 
 
 
 
Le paysage du Koutammakou, situé dans le nord-est du Togo et s’étendant par-delà la frontière jusqu’au Bénin, abrite les Batammariba dont les remarquables maisons à tourelles en terre sont devenues un symbole du Togo.
Dans ce paysage, la nature est étroitement associée aux rituels et aux croyances de la société.
 
 
   
Le paysage culturel de 50 000 ha doit son aspect remarquable à ses Takienta, maisons à tourelles qui sont le reflet de la structure sociale, ainsi qu’à ses terres agricoles et ses forêts, et à l’association entre le peuple et le paysage.
De nombreux édifices sont à deux étages, et ceux dotés d’un grenier sont caractérisés par une forme quasi-sphérique surmontant une base cylindrique.
   
Certains bâtiments possèdent des toits plats, d’autres des toits de chaume coniques. Les maisons sont regroupées en villages qui comprennent également des espaces cérémoniels, des sources, des rochers et des sites réservés aux cérémonies d’initiation.
(source UNESCO: patrimoine mondial)
   
 
   
 
 
 
 
Tislm-Difoini-Oboudam (fête des moissons et d'initiation dans la Kéran). Cette fête qui regroupe toutes les populations de la Keran est un hommage aux dieux et aux ancêtres pour avoir fourni d'abondantes récoltes. C'est aussi l'occasion pour les peuples de la Keran de déceler les richesses que contiennent leurs coutumes et traditions et de dépouiller la jeunesse des complexes dus à l'acculturation. Elle est célébrée le deuxième samedi du mois de février à Kanté.
   
   
 
 
 
 
Fête initiatique du fouet (fête d'initiation en pays Tamberma). Elle a lieu tous les 4 ans.
   
 
   
 
 
Le marché de Nadoba se tient tous les mercredis.
   
   
 


 
 
La ville de Dapaong est nichée au creux des collines. C'est un endroit idéal pour aller à la rencontre du pays Moba ou découvrir les nombreux sites historiques.
Les grottes et greniers de Nano et Maproug flanquées au creux de la falaise et les peintures rupestres de Namoudjoga sont parmi les attraits touristiques majeurs de la région.
   
 
 
 
 
   
 
 
 
 
Grottes de Nok et Mamproug.
De hautes falaises, dont les parois sont orientées au nord, dominent de leur à-pic la savane de cette partie septentrionale du Togo. Elles sont les derniers reliefs élevés avant cette immense étendue de savane qui se prolonge au Burkina. Cette formation appelée communément grès de Boumbouaka présente des escarpements de falaises d’âge protérozoïque supérieur d’une rare beauté avec à la base une alternance de pellites (argilites) et de psammites, l’ensemble reposant sur un socle cristallin daté du Birrimien.
 
 
Des anfractuosités horizontales s’ouvrent au dernier quart supérieur de leur hauteur ; d’accès difficile, elles ont servi, de très longue date, d’abri et de refuge aux populations autochtones lors des périodes d’insécurités diverses qui ont sévi dans la région du XVIIe au XIXe siècle.
Ces cavernes contiennent des greniers : cent trente-quatre à Nôk, cent treize à Mamproug et soixante-dix à Bopak et dans les autres grottes périphériques. De forme cylindrique, oblongue ou semi-sphérique, ils s’ouvrent vers le haut ; leur hauteur est généralement de deux mètres et demi, leur diamètre de trois mètres.
   
Avant que ces grottes n’aient été pillées, des armes traditionnelles telles que des arcs, des flèches et leurs carquois, y ont été trouvées. Les greniers, taillés dans le même style architectural traditionnel à partir des matériaux locaux (pierres, argile et paille) contenaient les récoltes et les grottes offraient un refuge aux populations menacées. Elles y avaient des vivres, de l’eau et leurs fétiches . Elles pouvaient donc y soutenir un véritable siège.
(source: patrimoine mondial UNESCO)
   
 
   
 
 
 
 
Les peintures rupestres de Namoudjoga et Sogou.
Jusqu'à leur découverte en 1990 par des missionnaires, rien ne signalait la présence des peintures dans cette région. Elles sont localisées les monts Sodjoual à Sogou, dans le canton de Naki, et les monts Namoudjoga. Sodjoual présente trois stations de peintures, réalisées sur des parois rocheuses. On trouve trois rangées de caractères morphologiques très nettement distincts : plusieurs traits horizontaux séparés par une médiane verticale. On peut remarquer, sans difficultés, quelques formes animalières. Il a été dénombré plus de soixante-trois groupes de signes composés de traits verticaux et horizontaux, de lignes de points, de cercles et des points isolés. On distingue aussi des cavaliers et des figures animales.
 
 
Le site de Namoudjoga se présente comme un rocher en forme de champignon abritant quatre groupes de représentations animales et humaines : le premier groupe est un cavalier, deux animaux, un homme et deux formes géométriques non clairement identifiés. Sur le deuxième groupe, on peut voir une scène de cavalier avec deux chevaux. En observant le quatrième groupe, on peut voir environ cinq cavaliers et une personne en station debout. Aux abords immédiats, sous le rocher, on peut observer quelques indices archéologiques : des rebuts d'objets lithiques en silex et des tessons et, dans le secteur, des restes de métallurgie ancienne du fer.
   
 
   
 
 
 
 
La réserve de Mandouri: La réserve, située à 97km de piste de Dapaong offre l'occasion de découvrir de manière encore tout à fait informelle la faune et la flore d'un parc contigu aux grands parcs nationaux du Burkina Faso et du Bénin.
 
 
La fosse de Dung: fosse sacrée habitée par les esprits.
   
 
   
 
 
   
La région se caractérise au plan artisanal par la prédominance de la vannerie, de la maroquinerie et du tissage. Les marchés de Dapaong et de Cinkassé qui s'animent hebdomadairement rassemblent les artisans qui étalent, à même le sol, des objets utilitaires finement travaillés: chapeaux de paille, cages aux oiseaux, éventails de palmes de rôniers, des sacs à main et des bracelets en cuir.
   
On se plaira à découvrir le talent des nombreux tisserands et tisserandes de la région au centre d'autopromotion féminine de Dapaong (CEDAF) ou à la coopérative des artisans de Lotougou.
Principaux centres artisanaux:
GIPATO de Dapaong.
Centre d'autopromotion féminine de Dapaong (CEDAF)
 
   
 
 
 
 
Tingban pab (fête des moissons des Moba du Grand Tône). C'est une fête traditionnelle célébrée chaque année le 2ème samedi du mois de décembre après les grandes récoltes. Elle se définit comme étant l'occasion solennelle pour remercier les diverses divinités qui, par leurs actions bienfaisantes ont concouru à une bonne récolte. Elle est rotative dans les chefs-lieux de préfectures et sous-préfectures.
   
   
 
 
 
 
Koudapaani (fête des moissons de l'Oti). Anciennement fête religieuse des jeunes filles : Kouroubi, cette dernière connaît aujourd'hui une nouvelle dénomination: Koudapaani (condensé de Kouroubi-Dakou-Tigbanpaani) qui signifient fécondité et moissons. Toutes les populations de l'Oti ont convenu de cette nouvelle appellation de leur fête préfectorale dans le souci de pérenniser la paix et de sceller une nouvelle alliance entre elles. c'est un culte aux mânes dans une communion de fraternité et de solidarité pacifiques. Elle est célébrée le 4 ème samedi du mois de janvier de chaque année à Mango.
   
 
   
 
 
B. P. 07 -  Tel.  (00228) 70 80 33 / 70 81 69 - Dapaong - Togo
Heures d’Ouverture : Mardi à Vendredi : de 9 h 00  à 12 h 30 et de 15 h 00  à 18 h 00 -  Samedi : de 9 h 00  à 13 h 00
 
   
 
   
 
 
 
 
Marché de Dapaong: Le marché se tient tous les mercredis et samedis. C'est l'occasion de déguster le délicieux tchakpalo (bière à base de mil).
Marché de Korbongou: Tous les mardis et les vendredis.
 
 
 


 
 
Le Togo dispose d'un patrimoine historique et culturel remarquable.
Des vestiges de la traite des esclaves (Agbodrafo), aux bâtiments coloniaux, en passant par le paysage koutammakou (patrimoine mondial UNESCO), les grottes et greniers de Nok et Mamproug ou encore les peintures rupestres de Namoudjoga et Sogou, le visiteur pourra découvrir mille et une merveilles.
 
 
 
> La Maison des esclaves - Wood Home - Le puit des enchaînés Ville : Agbodrafo & le lac Togo
 
"Woold Homé", d’après l’appellation locale, est la maison de Woold, commerçant et négrier anglais. Cette maison est construite peu après l’installation à Agbodrafor en 1835 d’une fraction du clan Adjigo chassée d’Aného et conduite par le Chef Assiakoley.

Habitués à la pratique de l’esclavage sur les côtes d’Aného, le chef et ses notables ne pouvaient abandonner ce commerce juteux malgré les injonctions des puissances occidentales et la surveillance des croisières antiesclavagistes dans le Golfe du Bénin.

Le chef Assiakoley usa de subterfuge et fit construire ce bâtiment de 21,60 mètres de long et de 9,95 mètres de large, composé de six chambres, d’un salon, des couloirs de 1,5 mètre de large et une cave de 1,50 mètre de hauteur sur tout le pourtour de l’édifice. Il affecta les chambres chichement aménagées à l’hébergement des négriers, et la cave, à l’état nature, au casernement des esclaves. Dans cette cave, il était impossible de se mettre debout. L’esclave restait assis, accroupi ou couché dans une moiteur indescriptible.
   
   
Des matériaux locaux et importés tels que ciment, briques cuites, lattes de rôniers, tôles galvanisées et sable de mer ont servi à architecturer cette villa dans le style afro-brésilien qui caractérise les maisons de cette époque.

Elle fut donc conçue et bâtie dans le dessein d’exercer une double fonction liée au commerce triangulaire.

Situé à une altitude de 10 mètres et à trois kilomètres de l’Océan atlantique, elle a accueilli des milliers de captifs provenant des localités réparties aujourd’hui entre le Togo, le Bénin, le Ghana, le Burkina Faso, le Niger et le Nigéria. Toutes ces victimes transitèrent par la cave de Woold Homé et Gatovoudo, un puits dénommé "puits des enchaînés " où les esclaves prenaient leur ultime bain "de purification " en terre africaine avant leur embarquement vers les Amériques.
 
 
Woold Homé est donc un monument esclavagiste par excellence et un témoin de cette tragédie humaine qui se déroula sur les côtes togolaises entre le dernier quart du XVIIème siècle et la fin du XIXème siècle.

Défonctionalisé depuis l’arrivée des Allemands au Togo, il sert aujourd’hui d’habitation à une famille descendant du chef Assiakoley. Il demeure un site qui émeut par son histoire, le rôle qu’il a joué dans la traite négrière, et sa structure physique qui garde encore toutes ses composantes. Les habitants d’Agbodrafo ont une peur bleue de ce lieu repoussant par son histoire que les traditionnistes et la tradition orale tentent d’occulter depuis la fin du trafic. Il est l’un des sites expressifs à inscrire dans le circuit touristique de la Route de l’Esclave.
(source: Patrimoine mondial UNESCO)
 
  Ville : Aného
 
   
Aného regorge de bâtiments dont l'architecture est caractéristique de la période coloniale (19ème Siècle).
Ils témoignent du passé de la ville qui fut la première capitale du Togo et un des principaux centres commerciaux du Togo.
 
   
La bande côtière entre mer et lagune (ou quartier lagunaire Anéhogan) recèle, dans un entrelacs de ruelles étroites, des biens architecturaux qui témoignent de l’histoire religieuse et commerciale de la ville. C’est un ensemble bâti original d’églises, de presbytères, de palais royaux (chefferies traditionnelles), de maisons à étage de riches marchands.

L’accroissement des échanges commerciaux vers la fin du siècle fit naître une classe de marchands dont les demeures rectangulaires, aux toits à quatre pentes et aux proportions harmonieuses, soulignent la richesse. Les bâtiments de la mairie, du commissariat actuel, de la poste et de l’ancien hôpital sont les témoins de cette architecture dite coloniale et de l’importance économique de ce quartier. Il est encore le lieu de résidence des rois traditionnels (clans Adjigo, Akagban, Tougben).

Zébé, siège administratif de la capitale allemande avec plusieurs bâtiments d’architecture coloniale qui sont aujourd’hui la préfecture des Lacs, le musée ethnographique, l’hôpital et la prison civile.
   
  Ville : Lomé
 
   
Le Palais des Gouverneurs a été construit de 1898 à 1905 sous la direction technique de l’ingénieur des travaux allemand FURTKAMP, suite à la décision du Gouverneur August KOHLER - celui-là qui érigea Lomé en Capitale du Togo -, de bâtir un palais assez représentatif qui soit reconnaissable à une distance de mille kilomètres afin d’impressionner les bateaux. L’architecture dite « de la tête haute » rappelle au premier coup d’œil non seulement celle de la métropole dont elle reflète l’aura, mais elle rime aussi - fièrement - avec la cote de « la colonie allemande modèle » que constituait le Togo à l’époque.
   
 
  Ville : Kande (Koutammakou)
 
 
 
 
Le paysage du Koutammakou, situé dans le nord-est du Togo et s’étendant par-delà la frontière jusqu’au Bénin, abrite les Batammariba dont les remarquables maisons à tourelles en terre sont devenues un symbole du Togo.
Dans ce paysage, la nature est étroitement associée aux rituels et aux croyances de la société.
 
 
   
Le paysage culturel de 50 000 ha doit son aspect remarquable à ses Takienta, maisons à tourelles qui sont le reflet de la structure sociale, ainsi qu’à ses terres agricoles et ses forêts, et à l’association entre le peuple et le paysage.
De nombreux édifices sont à deux étages, et ceux dotés d’un grenier sont caractérisés par une forme quasi-sphérique surmontant une base cylindrique.
   
Certains bâtiments possèdent des toits plats, d’autres des toits de chaume coniques. Les maisons sont regroupées en villages qui comprennent également des espaces cérémoniels, des sources, des rochers et des sites réservés aux cérémonies d’initiation.
(source UNESCO: patrimoine mondial)
   
 
  Ville : Dapaong
 
 
 
Grottes de Nok et Mamproug.
De hautes falaises, dont les parois sont orientées au nord, dominent de leur à-pic la savane de cette partie septentrionale du Togo. Elles sont les derniers reliefs élevés avant cette immense étendue de savane qui se prolonge au Burkina. Cette formation appelée communément grès de Boumbouaka présente des escarpements de falaises d’âge protérozoïque supérieur d’une rare beauté avec à la base une alternance de pellites (argilites) et de psammites, l’ensemble reposant sur un socle cristallin daté du Birrimien.
 
 
Des anfractuosités horizontales s’ouvrent au dernier quart supérieur de leur hauteur ; d’accès difficile, elles ont servi, de très longue date, d’abri et de refuge aux populations autochtones lors des périodes d’insécurités diverses qui ont sévi dans la région du XVIIe au XIXe siècle.
Ces cavernes contiennent des greniers : cent trente-quatre à Nôk, cent treize à Mamproug et soixante-dix à Bopak et dans les autres grottes périphériques. De forme cylindrique, oblongue ou semi-sphérique, ils s’ouvrent vers le haut ; leur hauteur est généralement de deux mètres et demi, leur diamètre de trois mètres.
   
Avant que ces grottes n’aient été pillées, des armes traditionnelles telles que des arcs, des flèches et leurs carquois, y ont été trouvées. Les greniers, taillés dans le même style architectural traditionnel à partir des matériaux locaux (pierres, argile et paille) contenaient les récoltes et les grottes offraient un refuge aux populations menacées. Elles y avaient des vivres, de l’eau et leurs fétiches . Elles pouvaient donc y soutenir un véritable siège.
(source: patrimoine mondial UNESCO)
   
 
 
  Ville : Lomé
 
   
La Cathédrale allemande au centre ville est l'endroit approprié où commencer nla visite de la ville.
Ses flêches ouvragées, sa façade et son intérieur joliment peints, ses bancs en bois sculptés et ses fresques représentant des saints africains sont des souvenirs vivants du patrimoine colonial du Togo.
   
  Ville : Togoville
 
   
La cathédrale Notre Dame du Lac Togo a été construite en 1910.
Elle est ornée de peintures de martyrs africains.
On y trouve la reproduction de la barque sur laquelle la vierge Marie apparut sur le lac en 1940.
   
  Ville : Togoville
 
   
Rencontre avec les descendants du roi Mlapa qui en 1884 signa avec le Docteur Nachtigal le traité qui donnera aux allemands l'hégémonie sur le territoire togolais.
On y rend encore tous les samedis matin la justice selon le droit coutumier.
 
   
 
  Ville : Kpalimé
 
   
Il subsiste à Kpalimé quelques bâtiments datant de l'époque coloniale où la ville était au centre du commerce du café cacao.
La cathédrale allemande de Kpalimé témoigne également du passé colonial de la ville.
La maison du gouverneur à Missahoe: le village de Missahoe se situe sur la route de Kusuntu en direction du village de Kuma-Konda.
 
La maison du gouverneur. L'ancienne maison du Gouverneur est caractéristique des vestiges architecturaux de la période coloniale allemande. La maison du gouverneur offre une vue splendide sur Kpalimé et sur le cimetière allemand.
   
  Ville : Atakpamé
 
 
 
Les ruines de Kamina: Situé à 20 kilomètres d'Atakpamé, Kamina est le site de l'ancienne base militaire allemande.
Les murailles du quartier général sont toujours dressées ainsi que les pylônes en béton qui supportaient l'antenne d'un émetteur de radio géant qui reliait le Togo à Berlin et à la flotte allemande de l'Atlantique sud.
   
   
 


 
 
D'une superficie de 56.600 km², le Togo est un pays de l'Afrique de l'Ouest limité au Nord par le Burkina-Faso, au Sud par le Golfe de Guinée, à l'Est par le Bénin et à l'Ouest par le Ghana. Il est divisé en cinq (5) régions administratives : Savanes, Kara, Centrale, Plateaux et Maritime où se trouve la capitale Lomé.
Le Togo, Etat partie à la Convention sur la Protection du Patrimoine Mondial, Culturel et naturel, dispose des réserves naturelles ou aires protégées localisées, chacune, dans une région précise, où à cheval entre 2 régions voisines.
Neuf (9) réserves naturelles sont déclarées prioritaires au Togo et trois (3) parmi elles sont proposées en 2004 pour être inscrites sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO et possèdent les critères attractifs nécessaires pouvant contribuer valablement au tourisme.
 
 
 
  Ville : Sokodé
 
 
 
Adossé à la chaîne des Monts Fazao-Malfakassa, somptueusement vêtu d'une mosaïque de formations végétales, le parc est essaimé de belles galeries forestières et de plaines fertiles colonisées par de nombreuses espèces végétales réputées pour leur arôme suave, sous lesquelles on voit déambuler des buffles, des éléphants, des antilopes, des bubales, des cobs, des phacochères, etc..
D'une superficie de 192.000 hectares, ce parc est un sanctuaire d'oiseaux, de primates, de reptiles et d'autres curiosités fauniques. Géré par la Fondation Franz Weber, il s'ouvre pour les visites vision-safaris pendant la saison sèche, de novembre à avril.
   
 
  Ville : Kara
 
 
 
La réserve de l'Oti et la parc national de la Keran
La réserve de l'Oti couvre la vallée du fleuve Oti sur 1878,40 km². Le Parc National de la Kéran est à cheval sur la région des savanes (préfecture de l'Oti) et la région de la Kara (préfecture de la Kéran). Il couvre environ 1700 km². Les principales espèces visibles dans la Kéran sont : le Phacochère, le Cob de buffon, le Buffle, le Cephalophe de Grimm, l'hyppotrogne, le bubale, le Cob de fassa.
 
   
 
La réserve de faune de Sarakawa: Cette réserve a été récemment ouverte au public. Des safaris découverte sont organisés à la rencontre de la faune sauvage africaine. On peut entre autre y apercevoir des zèbres, des Cobs, des bubales et bien d'autres espèces animales encore.
   
 
 
 
 
Il existe de nombreuses cascades naturelles au Togo, la plupart concentrées dans la région des plateaux (Kpalimé - Badou).
Parmi les cascades de la région citons celles de Tomegbe, Wome, Kpime, Ykpa ou encore celle d'Akrowa à Badou.
Nous vous invitons à visiter le site "Cascades du Togo" pour découvrir cette formidable richesse: http://www.cascadesdutogo.com
 
Les chutes d'Akrowa: Si vous visitez Badou, ne manquez pas de voir l'une des merveilles du Togo, une cascade de 100m d'eau laiteuse qui se précipite d'une falaise en granit dans un bassin au plus profond de la forêt. Il vous faudra effectuer une marche de 40 minutes sur des sentiers étroits qui serpentent sur les collines à travers les plantations de cacao avant de pénétrer dans la forêt.
Le voyage est un peu fatigant mais il en vaut largement la peine. Vous vous trouverez au plus profond de la forêt et vous aurez l'impression de découvrir le monde en arrivant dans le ravin retiré à la base de la chute.
 

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