Bienvenue sur le site de l’ONG OJADEC-AFRIQUE : Organisation des Jeunes en Activité pour le Développement Communautaire en Afrique. ONG Humanitaire d’assistance sociale et financière à caractère International basé au Bénin, Togo et Ghana Téléphone : 00228 916 88 55 Togo 00229 95 04 84 42 Bénin 00233 27 425 20 77 Ghana E-mail : ojadec_afrique@yahoo.fr Ojadec_afrique@hotmail.com 1er Responsable de l’ONG : AYOMASSE Francis Ensemble luttons contre la pauvreté sur toutes ses dimensions
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La région de la Kara offre un intérêt touristique incontestable: des sites splendides dont le paysage koutammakou, classé au patrimoine mondial par l'UNESCO, des populations authentiques, des paysages diversifiés (Monts Kabyés, falaises de Défalé) et un folklore remarquablement riche chez des populations qui ont su conserver intactes et vivantes leurs traditions.
Les nombreuses fêtes et danses traditionnelles de la région (luttes evala, akpema, habyé,..) sont autant de témoignages vivants de l'attachement des populations de la région aux traditions et modes de vie ancestraux.
   
   
Le paysage koutammakou et ses maisons/fortifications dénommées « takienta » sont parmi les plus beaux sites touristiques que propose le Togo.
Le site est inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO sous le nom de KOUTAMMAKOU, pays des Batammariba.
 
 
La région de Bassar / Bandjéli attestent quant à eux du travail lointain du fer dans la région.
Plusieurs anciens hauts fourneaux ont été conservés (Nangbéni - Bassar).
A Bandjéli on visitera également la très belle chefferie traditionnelle.
   
La région de la Kara est également riche en faune et en flore. La réserve naturelle du parc de la Keran est l'une des plus grande du Togo.
Ne manquez pas la réserve de Sarakawa, l'ancienne réserve privée du Président Eyadema, où sont organisés des safaris à la découverte de la faune sauvage africaine: zèbres, cob, bulballes, buffles,...
   
La région de la Kara regorge aussi de nombreux marchés tels que ceux de Niamtougou, de Ketao, de Bassar et Bandjéli ou encore de Nadoba (Koutammakou).
   

 
La région centrale couvre une superficie d'environ 13 500 km2 dont plus de 20% sont des réserves et des forêts classées parmi lesquelles la réserve du parc national du Fazao qui couvre près de 2 000 km2.
La ville de Sokodé (à majorité musulmane) est la deuxième ville du pays en nombre d'habitants.
La région offre de nombreux atouts culturels, les traditions sont restées vivantes. Le folklore, vivifié par le côtoiement incessant des différentes ethnies, avec interpénétration des coutumes, est ici particulièrement actuel et authentique.
 
 
Les fêtes du Ramadan, de la Tabaski, de Gadoa et d'Adossa (que l'on appelle aussi la fête des couteaux ), toutes d'origines musulmanes et dont la pratique a été propagée par les Kotokoli , sont célébrées en grande pompe.
Les chefferies traditionnelles en pays Tem sont un autre témoignage de ces coutumes restées profondément ancrées.
 
La variété des activités artisanales se retrouve ici aussi: sur les nombreux marchés de la région, entre autre, ceux de Tchamba, Blitta, de Pagala ou d'Adjengré, on trouve de très nombreux produits de l'artisanat local: outils aratoires, gourdes et calebasses, sacs à provisions,...
Sokodé, la capitale régionale est réputée pour son tissage .
Plus à l'est, la ville de Tchamba est spécialisée dans la pyrogravure des gourdes et calebasses.
   
   
   
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Construite sur le littoral, face aux eaux bleues du golfe du Bénin, la ville de Lomé forme un ensemble détendu, harmonieux et accueillant. C'est une ville avec des hôtels modernes, offrant une multitude de restaurants, des casinos, des marchés prospères et des boîtes de nuit animées. Avec plus d'un million d'habitants, Lomé est la plus grande ville du Togo.
   
   
Elle reste toutefois une petite métropole qui a su garder son cachet humain. Son architecture comprend des petites boutiques et des villas coquettes, de vieux bâtiments coloniaux et de vastes propriétés munies de jardins luxuriants, le tout encadré de cocotiers et d'arbustes en fleur. Lomé c'est le reflet du modernisme et de la tradition. Un mélange d'un soupçon de parfum européen et d'une bonne dose de culture togolaise.
   
   
De jour, les rues bourdonnent d'activité et de commerce. Après le coucher du soleil, les vendeurs ambulants installent de petits étalages à la lueur de lampes qui éclairent la nuit paisible.
La musique africaine apportée par la brise marine voltige dans l'air du soir.
   
Comme pour la plupart des capitales de la côte d'Afrique occidentale, Lomé jouit d'une plage de sable fin bordée de cocotiers.
Les pêcheurs exercent leurs activités sur tout le littoral. Les regarder tirer leurs filets est un rappel constant des liens qui unissent le Togo à la mer.
   
Origines :
Selon la tradition, un groupe Ewe, issu de l'exode de Notsé, s'est installé dans la seconde moitié du XVIème siècle en un lieu qu'ils baptisèrent « alo-mé » (« parmi les alo ») en raison des arbustes qui se trouvaient à l'emplacement et qui sont appelés en Ewe « alo ». Les traditions rapportent que c'est un chasseur du nom de Dzitri qui s'y serait installé en premier
   
 
 
   
 
 
   
Le Palais des Gouverneurs a été construit de 1898 à 1905 sous la direction technique de l’ingénieur des travaux allemand FURTKAMP, suite à la décision du Gouverneur August KOHLER - celui-là qui érigea Lomé en Capitale du Togo -, de bâtir un palais assez représentatif qui soit reconnaissable à une distance de mille kilomètres afin d’impressionner les bateaux. L’architecture dite « de la tête haute » rappelle au premier coup d’œil non seulement celle de la métropole dont elle reflète l’aura, mais elle rime aussi - fièrement - avec la cote de « la colonie allemande modèle » que constituait le Togo à l’époque.
   
 
   
 
 
   
La Cathédrale allemande au centre ville est l'endroit approprié où commencer nla visite de la ville.
Ses flêches ouvragées, sa façade et son intérieur joliment peints, ses bancs en bois sculptés et ses fresques représentant des saints africains sont des souvenirs vivants du patrimoine colonial du Togo.
   
 
 
   
Dans la région Maritime, Lomé la capitale, draine l'essentiel de ce qu'il y a de plus ingénieux et de plus naïf de la production artisanale nationale. Dans les quartiers populaires de la ville, des bijoutiers, des cordonniers, des tapissiers, des tailleurs et autres menuisiers installent leurs échoppes sur les trottoirs. Au Grand-Marché de Lomé, on peut admirer des étales de perles multicolores, de menus ustensiles de cuisine en poterie ou en vannerie et des statuettes sacrées. Le marché aux fétiches d'Akodésséwa est le sanctuaire de l'artisanat rituelique. La "Rue des arts" en plein coeur de Lomé ou le village artisanal sont de véritables musées vivants où se perpétuent les techniques traditionnelles séculaires: tissage, batik, maroquinerie, sculpture,...
   
Le marché artisanal: On trouve la rue des Arts, tout prêt de l'hôtel du Golfe, où se vendent toutes sortes d'objets d'art. C'est un endroit idéal pour acheter des souvenirs et le client avisé peut y découvrir des articles de valeur.
Le village artisanal regroupe différents corps de métiers. On peut y apercevoir les artisans à l'oeuvre: batik, sculpture sur bois, gravure, tissage,...
   
 
 
   
Lomé a un musée national fascinant. Il est situé dans le Palais des Congrès près de la place de l'Indépendance, en face due l'hôtel 2 février.
Ce musée, entièrement climatisé, est l'endroit idéal pour découvrir la culture togolaise. A l'intérieur, des vitrines bien éclairées racontent l'histoire locale et présententent d'excellents spécimens de l'art traditionnel. On y trouve de magnifiques cartes peintes et le passé du Togo y est représenté par de vieilles photos et dessins. D'autres vitrines montrent des instruments de musique, des objets remontant à des milliers d'années, des pots d'argile, des paniers décorés de coquillages et des calebasses employées pour conserver la nourriture et l'eau. Des sculptures sur bois, des vêtements, des métaux ouvragés, des pipes à tabac et des textiles y sont également exposés.
   
 
   
 
 
   
Tout près de la Cathédrale se trouve le grand marché de Lomé, là où se tient la plupart du commerce quotidien. Ce bâtiment de deux étages occupe tout un pâté de maisons dans la ville et vous y trouverez pratiquement tout. La plus grande partie du commerce est dirigée par les femmes en tenues traditionnelles aux couleurs vives.
   
Les femmes dominent en grande partie l'économie ménagère du pays. Il faut absolument que vous vivitiez ce marché. Il bouillonne de vitalité et d'énergie. Le brouhaha des voix se mêle au son de la musique africaine enregistrée. Il ya des enfants partout, qui aident leur mère ou qui jouent dans la foule : c'est un tableau vivant de l'activité urbaine.
 
   
   
Les activités s'étendent hors de ses murs. Dans les rues voisines, des colporteurs et des marchands se livrent à un commerce animé et beaucoup portent leur "boutique" sur la tête.
Du marché, les rues partent en éventail dans toutes les directions et c'est un plaisir d'y flâner. le visiteur trouve beaucoup d'étalages et de boutiques qui vendent des vêtements africains et des articles d'artisanat.
   
   
> Le marché aux fétiches
 
   
C'est l'endroit où l'on peut observer les produits de la religion togolaise et de la médecine traditionnelle.
Des plumes d'oiseaux, des crânes d'animaux, des peaux de bêtes, des herbes et toutes sortes de choses qui sont censées être pourvues de qualités magiques figurent sur les comptoirs , ainsi que de petits fétiches sculptés.
Ces derniers auraient le pouvoir de protéger les individus du mauvais sort et, d'après les vendeurs, leur efficacité est garantie.
 
   
Le marché aux fétiches est également le lieu où trouver d'excellents échantillons de figurines Ewe honorant les jumeaux que les commerçants gardent d'ordinaire cachés.
Vous pouvez y trouver d'excellents souvenirs, mais il faut marchander car le premier prix est généralement très élevé.
   
   
> Le marché du port de pêche
 
   
Le marché du port de pêche est l'occasion de découvrir toute l'activité traditionnelle de la pêche. Les pêcheurs arrivent au port à bord de leurs pirogues colorées et vendent directement le poisson aux vendeuses du marché. Un marché haut en couleur...
   
   
   
 
   
 
 
   
A quelques kilomètres de Lomé en direction du Bénin, profitez des nombreuses plages de sables fins bordées de cocotiers du littoral.
De nombreuses structures d'hébergement et de loisirs vous acceuilleront pour vous détendre au soleil !!!
   
   
 
 
   
Le lac Togo est un lac de 13km2 qui regorge de poissons et de vie aquatique.
C'est également un centre important de loisirs et de détente où l'on peut pratiquer les sports nautiques.
 
   
 
 
 
Club Hippique du Togo :  route de l'aéroport, BP 10025, Tel 226.94.50.
 
   
 
 
 
AAT Tennis Club : Av Sarakawa, Tel: 221 04 76, 6 courts de tennis éclairés.
 
   
 
 
 
Restaurant Barakouda. Quartier Kodjoviakope. Boulevard du Mono. Sur le front de mer en direction du Ghana. Tel: 904 08 60 – 930 32 82 - barakouda@netcom.tg - Organisation de pêche au gros et visite des baleines (juillet à novembre).
 
Restaurant Alt Munchen. Tel: 227 63 21 – Portable 904 68 45 – www.marcmulfarth@hotmail.com
 
   
 
 
   
Situé à une vingtaine de minutes du centre de Lomé, le parcours se trouve sur la commune d’Agouenyivé, sur la route d’Atakpamé.

Pour les spécialistes, il s’agit d’un 9 trous qui affiche une longueur de 5888 mètres pour un SSS de 71,7 (slope 113). Le parcours (fairways et avant-greens) est arrosé automatiquement par un réseau de pompes immergées à plus de 50 m, pouvant débiter près de 30 m3/heure !
 

 
Vous trouverez les plus belles plages aménagées du Togo entre Baguida et Avepozo.
 
 
   
 
 
   
 
 
   
En direction de Baguida et Avepozo, à une dizaine de kilomètres de Lomé en direction du Bénin, vous trouverez de superbes plages aménagées bordées de cocotiers.
L'endroit est particulièrement animé les week-ends.
   
 

 
 
   
A une demi-heure en voiture de Lomé, se trouve Agbodrafo, une ancienne cité portugaise (auparavant Porto Seguro) qui est à présent une tranquille petite ville au bord du lac Togo, un lac de 64km2 qui regorge de poissons et de vie aquatique.
La ville d'Afgbodrafo a été reconnue comme faisant partie de la "Côte des esclaves". On peut y découvrir quelques vestiges de ce passé tels que la "maison des esclaves" (Woold Home) ou le puit des enchaînés.
Entouré de petits villages, le lac Togo est un des lieux les plus accueillants du pays où l'on peut pratiquer les sports nautiques.
 
 
 
 
 
 
   
 
 
"Woold Homé", d’après l’appellation locale, est la maison de Woold, commerçant et négrier anglais. Cette maison est construite peu après l’installation à Agbodrafor en 1835 d’une fraction du clan Adjigo chassée d’Aného et conduite par le Chef Assiakoley.

Habitués à la pratique de l’esclavage sur les côtes d’Aného, le chef et ses notables ne pouvaient abandonner ce commerce juteux malgré les injonctions des puissances occidentales et la surveillance des croisières antiesclavagistes dans le Golfe du Bénin.

Le chef Assiakoley usa de subterfuge et fit construire ce bâtiment de 21,60 mètres de long et de 9,95 mètres de large, composé de six chambres, d’un salon, des couloirs de 1,5 mètre de large et une cave de 1,50 mètre de hauteur sur tout le pourtour de l’édifice. Il affecta les chambres chichement aménagées à l’hébergement des négriers, et la cave, à l’état nature, au casernement des esclaves. Dans cette cave, il était impossible de se mettre debout. L’esclave restait assis, accroupi ou couché dans une moiteur indescriptible.
   
   
Des matériaux locaux et importés tels que ciment, briques cuites, lattes de rôniers, tôles galvanisées et sable de mer ont servi à architecturer cette villa dans le style afro-brésilien qui caractérise les maisons de cette époque.

Elle fut donc conçue et bâtie dans le dessein d’exercer une double fonction liée au commerce triangulaire.

Situé à une altitude de 10 mètres et à trois kilomètres de l’Océan atlantique, elle a accueilli des milliers de captifs provenant des localités réparties aujourd’hui entre le Togo, le Bénin, le Ghana, le Burkina Faso, le Niger et le Nigéria. Toutes ces victimes transitèrent par la cave de Woold Homé et Gatovoudo, un puits dénommé "puits des enchaînés " où les esclaves prenaient leur ultime bain "de purification " en terre africaine avant leur embarquement vers les Amériques.
 
 
Woold Homé est donc un monument esclavagiste par excellence et un témoin de cette tragédie humaine qui se déroula sur les côtes togolaises entre le dernier quart du XVIIème siècle et la fin du XIXème siècle.

Défonctionalisé depuis l’arrivée des Allemands au Togo, il sert aujourd’hui d’habitation à une famille descendant du chef Assiakoley. Il demeure un site qui émeut par son histoire, le rôle qu’il a joué dans la traite négrière, et sa structure physique qui garde encore toutes ses composantes. Les habitants d’Agbodrafo ont une peur bleue de ce lieu repoussant par son histoire que les traditionnistes et la tradition orale tentent d’occulter depuis la fin du trafic. Il est l’un des sites expressifs à inscrire dans le circuit touristique de la Route de l’Esclave.
(source: Patrimoine mondial UNESCO)
 
 
   
 
 
   
Le lac Togo est un lac de 13km2 qui regorge de poissons et de vie aquatique.
C'est également un centre important de loisrs et de détente où l'on peut pratiquer les sports nautiques.
   
Entouré de petits villages, le lac Togo est l'un des lieux les plus attrayants du pays.
Les pêcheurs navigent dans de petits canots creusés dans des troncs d'arbre pour aller ramasser leurs filets et leurs nasses.
De grands pélicans planent dans le ciel.
Sur la rive, la vie villageoise est tranquille et bien ordonnée.
Le lac Togo est l'endroit rêvé pour se détendre et se remettre en forme.
 
   
 

 
 
Située à 15 kilomètres à l'est d'Agbodrafo, Aného est le centre spirituel du peuple Guin-Mina.
La ville est bâtie près d'une lagune sinueuse et est entourée de villages de pêcheurs et de plantations de cocotiers.
Jadis centre de la traite des Noirs, Aného fut le premier centre de l'administration allemande. Plus tard, elle devint la première capitale du territoire.
 
   
De nos jours, Aného conserve l'âme d'une petite ville coloniale du 19ème Siècle. C'est une cité paisible de pêcheurs et d'agriculteurs, un centre agricole réputé pour sa production de manioc, une culture vivrière importante.
A Aného, on peut observer le fonctionnement des coopératives de pêche, ces grands groupes de familles de pêcheurs qui se partagent les prises.
 
 
   
 
 
   
Aného regorge de bâtiments dont l'architecture est caractéristique de la période coloniale (19ème Siècle).
Ils témoignent du passé de la ville qui fut la première capitale du Togo et un des principaux centres commerciaux du Togo.
 
   
La bande côtière entre mer et lagune (ou quartier lagunaire Anéhogan) recèle, dans un entrelacs de ruelles étroites, des biens architecturaux qui témoignent de l’histoire religieuse et commerciale de la ville. C’est un ensemble bâti original d’églises, de presbytères, de palais royaux (chefferies traditionnelles), de maisons à étage de riches marchands.

L’accroissement des échanges commerciaux vers la fin du siècle fit naître une classe de marchands dont les demeures rectangulaires, aux toits à quatre pentes et aux proportions harmonieuses, soulignent la richesse. Les bâtiments de la mairie, du commissariat actuel, de la poste et de l’ancien hôpital sont les témoins de cette architecture dite coloniale et de l’importance économique de ce quartier. Il est encore le lieu de résidence des rois traditionnels (clans Adjigo, Akagban, Tougben).

Zébé, siège administratif de la capitale allemande avec plusieurs bâtiments d’architecture coloniale qui sont aujourd’hui la préfecture des Lacs, le musée ethnographique, l’hôpital et la prison civile.
   
 
   
 
 
   
La vallée du Mono, près de la frontière du Bénin, est essaimée de petits hameaux nichés sur les rives du fleuve parmi les plantations de palmiers, les champs de maïs et de manioc.
C'est aussi une région de vie sauvage exotique où des hippopotames paressent dans les trous d'eau profonds de la rivière.
   
S'il est vrai qu'on voit beaucoup d'hippopotames dans les fosses du fleuve, la plus grande fosse près de Tokpli demeure la meilleure.
N'oubliez pas que les hippopotames ne sont visibles que très tôt le matin ou à la tombée de la nuit.
   
 
   
 
 
 
Le marché de Vogan est l'un des plus pittoresques de la région. Il s'anime tous les mardis et vendredis. On peut y découvrir des vanneries, des jarres aux volumes inattendus, des poteries décorées de motifs ésotériques et des produits de la forge sacrée.
La poterie est également l'apanage de l'artisanat féminin à Kouvé et à Bolou .
   
 
   
 
 
 
Epe-Ekpe (fête historique des Guins). C'est sans doute une des cérémonies les plus plus importantes de toute l'Afrique de l'Ouest. Propre aux Guens venus du Ghana au 17ème siècle pour s'installer dans la région des lacs en 1663, Epe-Ekpe est l'occasion de la prise de la pierre sacrée (Kpessosso) qui demeure le noyau autour duquel tournent toutes les manifestations.
Cette fête marque le début de l'année de l'ethnie Guin. Elle n'a pas de date fixe mais est généralement célébrée au mois de septembre de chaque année et quelques rares fois au mois d'août à Glidji Kpodji.
   
   
 

 
 
   
Les visiteurs qui vont au lac Togo ne doivent pas manquer de visiter Togoville, le petit village qui a donné son nom à tout le pays. On peut y aller en longeant le lac, mais le mieux est de prendre la pirogue. Après 20 minutes de traversée, on débarque sur la rive opposée.
Il ne faut qu'une courte marche pour arriver à la belle église allemande (construite en 1910). L'Eglise est décorée avec des peintures de saints africains et une statue de Notre-Dame du lac Togo, la sainte patronne du village.
   
Togoville est aussi un village riche en traditions et au passé historique.
Les visiteurs peuvent découvrir la maison du descendant du roi Mlapa qui signa avec Nachtigal le traité instaurant le protectorat allemand sur le Togo.
 
Togoville est également célèbre en tant que centre des pratiques religieuses animistes. Les dévots arrivent de tout le sud du Togo pour étudier et pratiquer leur religion. On voit des fétiches et des sculptures en bois devant beaucoup de maisons.
Aux abords du lac Togo se trouve aussi la forêt sacrée où la Pape a rendu visite aux prêtres fétichistes en 1985.
   
 
 
   
 
 
   
La cathédrale Notre Dame du Lac Togo a été construite en 1910.
Elle est ornée de peintures de martyrs africains.
On y trouve la reproduction de la barque sur laquelle la vierge Marie apparut sur le lac en 1940.
   
   
 
 
   
Rencontre avec les descendants du roi Mlapa qui en 1884 signa avec le Docteur Nachtigal le traité qui donnera aux allemands l'hégémonie sur le territoire togolais.
On y rend encore tous les samedis matin la justice selon le droit coutumier.
 
   
 
   
 
 
   
Les pratiques et croyances animistes sont encore profondément ancrées dans la vie quotidienne des populations locales.
Il existe des fétiches pour chacun des quartiers de Togoville. Ceux-ci sont encore utilisés comme en témoignent les nombreux sacrifices déposés à leurs pieds.
Il n'est pas rare également de voir des femmes entrer en transe  ou de rencontrer les prêtres vaudousi.
 
   
   
 
   
 
 
   
Un marché de troc se tient tous les mercredi à Togoville. On y échange les produits de la terre contre ceux de la mer.
Vogan: marché nocturne tous les mardis et vendredis soirs. rencontre avec la culture animiste et vaudou.
   

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